Elena Cabar : Comment s’organise le projet ISGELOQUENCE ?
Nathan Beulaguet : Ce projet est bâti sur la collaboration et l’échange permettant à chaque étudiant et enseignant d’apporter sa touche personnelle. Un ensemble de petits groupes, de petites cellules travaillent ensemble à la réalisation de ce Concours d’éloquence.
Quentin Lucas : Sur quelles missions travaillez-vous Nathan ?
Nathan Beulaguet : Je participe à plusieurs missions au sein du pôle événementiel et du pôle contenu visuel. Je n’attache pas de réelle préférence à un pôle plus qu’à un autre. Chacun d’entre eux est différent et me permet de toucher à plusieurs disciplines. J’apprends donc sur plusieurs plans, c’est ce que j’apprécie dans ce projet ISGELOQUENCE.
J’ai notamment apporté ma contribution en réalisant une dizaine de visuels. Je participe à l’organisation du grand jour, c’est-à-dire la Finale du Concours d’éloquence. Nous avons dû envisager trois modalités pour la création de cet événement : en présentiel, hybride ou en ligne. Puis, à l’annonce du second confinement, nous avons opté pour une Finale entièrement virtuelle. Ainsi, j’ai pris part, au début, à la réalisation de devis pour le cocktail dînatoire, ou la location de locaux. J’ai également mené des recherches pour définir la plateforme digitale sur laquelle aura lieu la Finale, le 11 janvier 2021. Enfin, je suis un des quatre étudiants en charge de la rédaction du compte–rendu de nos différentes sessions de travail afin que tous les membres de notre équipe puissent avoir un bilan complet et condensé.
Quentin Lucas : Pourquoi avoir eu envie de réaliser le dessin de notre chanson-emblème ?
Nathan Beulaguet : Étant un amateur de dessin, j’ai pu mettre ma passion au service de ce projet en réalisant une illustration de George Brassens. Nous avons choisi cet auteur car il représente et évoque la liberté, qui est le thème principal du Concours ISGELOQUENCE..
Elena Cabar : Quelles sont vos inspirations habituellement?
Nathan Beulaguet : J’ai commencé à dessiner pour illustrer mon goût pour l’architecture, en dessinant tout type de biens immobiliers. J’ai utilisé une forme d’art pour en illustrer une autre. J’ai une préférence pour les dessins représentant des maisons. J’ai davantage l’habitude des formes linéaires et cubiques. Pour réaliser le portrait de George Brassens, j’ai dû sortir de ma zone de confort et m’aventurer sur une toute nouvelle forme de représentation visuelle. Il m’a donc fallu du temps et beaucoup de papiers et de ratures, avant d’arriver au résultat final.